Vous cherchez un tarif clair pour la création d’un site internet à Marseille ? Dans ce guide complet, on détaille les prix réels d’un site vitrine, d’une boutique e-commerce et d’un développement web sur mesure, ainsi que les facteurs qui font varier le budget : design, SEO, performances, sécurité, hébergement, maintenance et accompagnement. Objectif : vous aider à investir au bon niveau, sans payer trop cher ni sacrifier la qualité.

1) Les facteurs qui influencent le prix d’un site internet

Le prix d’un site n’est pas qu’une question de “nombre de pages”. Il dépend d’un ensemble de paramètres : objectifs business (prise de rendez-vous, leads, vente en ligne), niveau de design (template vs création graphique sur mesure), complexité fonctionnelle (blog, multi-langues, espace client, intégrations CRM/ERP), exigence SEO, performances (Core Web Vitals), sécurité (RGPD, anti-spam, durcissement serveur), capacité d’évolution (architecture, tech stack), ainsi que de l’accompagnement (pilotage, analytics, A/B tests, itérations). Plus ces exigences sont élevées, plus le budget augmente, mais le ROI aussi lorsqu’elles sont alignées à votre acquisition.

À Marseille, le contexte local joue également : la concurrence sur les requêtes “agence web Marseille”, “création site internet Marseille” ou “e-commerce Marseille” implique de soigner les fondations SEO, le contenu éditorial et le maillage interne. Un site “moins cher” mais peu visible coûte, in fine, plus cher qu’un site correctement pensé pour attirer et convertir.

2) Fourchettes de prix à Marseille (vitrine, e-commerce, sur-mesure)

Les fourchettes ci-dessous reflètent les budgets généralement observés pour un projet mené proprement par un professionnel. Elles varient selon votre périmètre exact, la qualité attendue et le niveau d’accompagnement.

Ces budgets incluent en général : ateliers de cadrage, webdesign, intégration, développement, optimisation responsive, configuration SEO de base, paramétrages techniques, recette et mise en ligne. Le copywriting, la production photo/vidéo, le netlinking, la publicité et la maintenance font souvent l’objet de lignes dédiées.

3) Le coût poste par poste : où part votre budget ?

a) Cadrage & stratégie

Ateliers d’objectifs, analyse concurrentielle locale, personas, arborescence, wireframes. C’est ici qu’on évite les surcoûts futurs. Comptez 10–20 % du budget.

b) Design UX/UI

Charte graphique, layouts, systèmes de composants, micro-interactions. Un design sur mesure crédibilise votre marque et améliore la conversion. 15–25 % du budget.

c) Développement & intégrations

Intégration responsive, fonctionnalités (formulaires, blog, comptes), connecteurs (CRM/ERP). Cœur du projet. 35–55 % du budget selon complexité.

d) Contenus & SEO

Rédaction optimisée, maillage interne, data-layers, schémas schema.org. Sans contenu de qualité, pas de visibilité. 10–20 % du budget.

e) Performance, sécurité, conformité

Optimisations Core Web Vitals, cache, durcissement sécurité, RGPD, formulaires anti-spam. Indispensable pour le SEO et l’expérience. 5–10 %.

f) Recette, formation, mise en ligne

Tests multi-devices, corrections, formation à l’admin, bascule live, supervision post-lancement. 5–10 %.

4) Freelance, agence locale ou “low-cost” offshore : que choisir ?

Freelance : idéal pour un périmètre simple (vitrine) avec un interlocuteur unique et un budget serré. Limite : capacité, disponibilité, couverture des compétences (SEO, UX, dev back, tracking). Agence locale à Marseille : équipe pluridisciplinaire, méthode, pérennité, garantie de résultats. Budget plus élevé mais moins de risques. Offshore “low-cost” : prix d’appel attractifs, mais souvent sur-coûts en pilotage, dette technique, qualité de code et SEO insuffisant, délais et communication compliqués. Si votre site est un levier de business, privilégiez un acteur capable d’aligner design, tech et marketing.

5) WordPress, Shopify, Next.js (headless) : impacts concrets sur le budget

WordPress : excellent pour des vitrines évolutives, blog, SEO, avec un bon rapport valeur/prix. Le coût vient des templates premium, de la personnalisation, et des plugins à maîtriser pour la performance/sécurité. Shopify : parfait pour démarrer un e-commerce vite et bien, back-office simple, écosystème d’apps. Coûts récurrents (abonnements) et frais de transaction. Headless/Next.js : idéal pour des besoins avancés (vitesse, UX custom, intégrations), SEO très fort avec rendu serveur, mais budget initial supérieur (architecture, API, CMS headless). Chez Startbiz, on recommande la stack la plus rentable selon vos objectifs et votre horizon de croissance : vitrine, e-commerce ou sur-mesure.

6) SEO & SEA : combien prévoir pour être visible et convertir

SEO (référencement naturel) : prévoyez un forfait mensuel pour produire des contenus optimisés, obtenir des liens de qualité, améliorer techniquement le site et piloter le maillage interne. Sur Marseille, un budget courant se situe entre 400 € et 2 000 € / mois selon ambition et concurrence. SEA (Google Ads/Meta Ads) : comptez un budget média (au clic) + des frais de gestion. L’avantage : résultats immédiats et pilotage précis du ROI. Le combo SEO + SEA est souvent gagnant : le SEA accélère pendant que le SEO bâtit un trafic durable.

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7) Délais réalistes et impact sur le prix

Un délai compressé implique davantage de ressources en parallèle (donc un coût supérieur). Pour un vitrine soigné, comptez 3–6 semaines ; pour un e-commerce custom, 6–12 semaines ; pour un projet sur mesure, 12–24 semaines. Les retards viennent souvent des contenus manquants, validations tardives, périmètres mouvants. Un bon cadrage initial et une gouvernance claire réduisent le budget comme les délais.

8) 10 erreurs qui font exploser la facture (et comment les éviter)

1. Briefer “à l’oral” sans cahier des charges ni objectifs mesurables.
2. Changer de périmètre en cours de route sans re-prioriser.
3. Choisir un thème “joli” mais lourd et peu maintenable.
4. Négliger la performance (LCP/CLS/INP) et perdre en SEO et conversion.
5. Oublier la sécurité (mises à jour, sauvegardes, pare-feu, RGPD).
6. Publier sans contenus ni stratégie éditoriale locale (Marseille/PACA).
7. Négliger le tracking (GTM/GA4), donc piloter “à l’aveugle”.
8. Ignorer le mobile alors que 60–80 % du trafic vient du smartphone.
9. Refuser la maintenance : dette technique et pannes coûteuses.
10. Aller au moins-cher “one shot” : refonte anticipée = double dépense.

9) Comment budgétiser et comparer des devis (check-list pratico-pratique)

1) Exprimez vos objectifs chiffrés (leads/mois, CA e-commerce, prises de rendez-vous). 2) Exigez un périmètre précis : pages, modules, intégrations, contenus, SEO, performances. 3) Demandez la stack technique et les raisons du choix. 4) Vérifiez les livrables : maquettes, prototypes, tests, accès, documentation. 5) Comparez au-delà du prix : méthode, planning, rôles, garanties, TMA/maintenance. 6) Demandez des cas clients proches de votre secteur. 7) Clarifiez ce qui est récurrent (hébergement, licences, apps). 8) Planifiez l’après-lancement : SEO, Ads, itérations UX.

10) Vous voulez un budget fiable et un site qui performe ?

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